Mon avis – Présentation – L’auteure
Lecture de décembre 2017
Jo, Jo Drake… agent des services secrets britanniques. Un polar de qualité, un James Bond revisité, le troisième d’une série, bon vous vous en doutez je n’ai pas lu les 2 premiers mais pas besoin pour le lire. On décolle pour Bissau en Afrique et bien sûr Jo va à la rencontre de péripéties soulignées d’un humour anglais décapant. Une lecture agréable, des extraits que j’ai emmagasiné car les jeux de mots sont excellents. L’auteure nous a été recommandée par Cédric que je remercie au passage. Une très bonne lecture entre deux romans plus noirs.
Présentation :
Troisième roman de SASSA, BONS BAISERS DE BISSAU est le plus noir et le plus abouti de ses polars d’espionnage.
Bissau, Afrique de l’Ouest. Une nouvelle épidémie de fièvre hémorragique menace quand quatre médecins de l’OMS disparaissent subitement en brousse.
Entre une journaliste chinoise bien trop sexy, un mastiff corse tôlier du casino local, des militaires rêvant de coups d’État et des narcotrafiquants omniprésents, Jo Drake, agent des services secrets britanniques, va devoir affronter un ennemi impitoyable.
Laissez-vous emporter par cette nouvelle aventure au service de Sa Majesté.
L’auteure :
SASSA est une ombre sous un trilby bleu au galon rose.
Que sait-on sur cette ombre ? Pas grand-chose. Elle a passé plus de 25 ans dans le monde très discret de la défense nationale. Elle y a côtoyé des hommes rudes et des femmes fières. Elle a régulièrement signé des papiers par lesquels elle s’engageait à ne rien divulguer des secrets auxquels elle avait accès. Pendant ces années, elle a souvent, trop souvent, alterné entre l’univers du luxe le plus excessif et celui de la pire pauvreté. Une ombre peut-être, mais profondément marquée.
Maintenant qu’elle en est sortie, à priori, elle doit rester vigilante dans ses écrits et donc… ceux-ci sont des œuvres de fiction. Les personnages et les situations décrits sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec des personnages ou des évènements existant ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.