⁕ roman contemporain

"La voix de mon père" de Brigitte LECHANTEUR

Mon retour – Présentation – L’auteure
Lecture de juin 2018

Une énigme familiale. Très souvent au décès d’un parent nous sommes confrontés à faire des découvertes. Quelques fois celles-ci sont joyeuses mais peuvent aussi être étranges, voire suspectes, et nous amènent à creuser dans le passé pour vivre son présent. C’est ce que va faire Patricia ici. On va voyager à ses côtés pour essayer de démêler ce qui est réellement arrivé à ce père parti trop vite. Émotions et voyages sont au rendez-vous. Un roman intéressant, bien écrit, je remercie l’auteure de me l’avoir fait découvrir.
Présentation :

Trop tard. Elle a enclenché la cassette. La voix de son père disparu quinze ans plus tôt s’élève. Rien ne sera plus jamais comme avant. Avant qu’elle ne découvre ce secret de famille, avant que sa recherche de la vérité ne l’emmène aux confins de la désillusion.
De Paris en Belgique, d’Équateur en Grèce, elle tire le fil d’Ariane, mais la vérité a un prix : ce père qu’elle a aimé à la folie, cet homme de devoir, a-t-il vraiment fait cette chose monstrueuse ?
L’auteure :


Brigitte Lechanteur 
ou le désir de ré-enchanter ma vie…
Aujourd’hui, chacun peut ré-enchanter sa vie.
Les nouvelles technologies, ces forces vives de communication, nous incitent à nous connecter les uns aux autres ; je veux croire que c’est pour un mieux.
L’homme connecté n’est peut-être pas moins seul, mais s’il souffre moins, quelle importance ?
Un vent nouveau souffle.
En me lançant dans cette aventure d’auteur indépendant, je me suis sentie portée par le projet d’être lue, en symbiose avec des auteurs animés par une vraie joie d’écrire.
Aussi, cher lecteur, à ce stade de notre relation, voici ce que je peux te dire à mon sujet :
Dans ma paume de main, la ligne de cœur est prise depuis des années. Un homme, deux enfants.
Ma ligne de tête est continue alors que je l’imaginerais volontiers segmentée de pointillés ; je suis multitâche, je ne peux pas vivre autrement et je me cherche encore.
Cette ligne de tête a toujours été squattée par l’écriture, avec des moments d’euphorie et de découragement.
En pointillé, de 18 à 35 ans, elle se gorge de théâtre, de comédie, de production de spectacles vivants, d’une faillite.
De 35 à 50, pointillés serrés, direction administrative d’un groupe audiovisuel, on remet les compteurs à zéro.
À partir de 50, lignes espacées, reprenons la plume, profitons de la Vie car même si la ligne paraît longue, un jour elle s’arrête.
Carpe diem…
Enfin ?

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