Lecture de novembre 2019 ➡
Voici le second épisode des fameuses régressions de Richard Bachman. La machine à régresser à bien fonctionner, donc partons à la suite de Richard et découvrir son monde enfant.
Tout ne va pas forcément se passer comme il le voudrait, quelques petits changements pourront toutefois être opérés. Mais qu’en est-il de cet effet papillon? Ou plutôt :
« Quelles tempêtes ce battement d’aile de l’albatros va-t-il entraîner? »
Les références à l’auteur au nom célèbre sont bien sûr toujours présentes, plus que jamais. Pour Richard, lui sera un peu perdu, le temps a quelque peu distordu certain noms de personnages, de villes. La complicité avec son grand-père est bien présente. Il y a un extrait qui m’a fait sourire, et que je vais bien retenir, voir m’en servir.
« On ne dérange pas quelqu’un qui lit, c’est un sacrilège. Tout acte violent que cela entraîne est de légitime défense. »
Beaucoup de sujets sont pointés du doigt, l’auteur n’écrit pas qu’une histoire, à vous de voir ce qu’il nous raconte entre les lignes, je n’ai certainement pas tout vu, mais c’était déjà très agréable. Et je continue donc avec le troisième épisode : « Extraball ».
❇ Les 4 titres de cette série
- Kurt Cobain n’est pas mort – Lu, retour d’août 2019
- Les sales jours – Lu, ⬆⬆⬆
- Extraball – En cours
- Tourner la page

❇ Présentation
La machine à régresser inventée par Subrahman Chopra a fonctionné. L’écrivain valétudinaire se retrouve propulsé dans le corps de ses huit ans. Il tient là l’occasion d’empêcher que le plus gros drame de sa vie ne se joue : les Sales Jours.
Ca a l air interessant. Merci pour ce retour.
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Avec plaisir Sonia 💛
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