Lecture de février 2021 ➡
Robert Laffont éditions – 498 pages – Kindle –
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Second de la trilogie, j’ai été heureuse de retrouver Dante Torre « l’homme au silo » et Colomba Caselli, commissaire adjointe. Cette dernière sera mise à mal par ses supérieurs au cours de cette enquête.
J’avais été emballée lors du premier tome et c’est avec avidité que j’ai lu ce suivant. L’écriture et l’histoire n’ont pas de répit et nous entraînent dans les méandres du mal, dans la folie humaine et le machiavélisme d’une tueuse.
« La Fille saisit l’auriculaire de la main gauche de l’homme ligoté et le place entre les mâchoires des tenailles. l’homme geint encore plus fort. Il implore sa pitié par des sanglots inarticulés. La Fille secoue doucement la tête… »
De carnages en massacres, plusieurs fausses pistes sont lancées, mais c’est sans compter par le flair de Colomba et l’aide de Dante, capables de déceler les fils tordus de cette histoire terrible. L’ange de la mort ne va pas s’arrêter, à nous de décrypter ses convictions et les enjeux qui sont derrière ces tueries. Vous allez faire la connaissance de Giltiné…
Les personnages sont bien sûr très attachants et c’est avec hâte que je lirais le troisième opus dans quelques temps, juste laisser reposer un peu. Je pense que l’on peut lire chaque récit indépendamment. Mais si l’on veut comprendre l’histoire de Dante voir ➡➡ Tu tueras le père, il est préférable de les lire dans l’ordre et pour une fois je ne me suis pas trompée dans l’ordre de lecture…
C’est de thriller pur que l’on parle ici, donc âmes sensibles s’abstenir. Pour moi c’est un beau « coup de cœur » en ballade entre l’Italie et l’Allemagne, mais ce n’est pas du tourisme.

✅ Présentation
La Mort au terminus… 23 h 50, voie 7. Le TGV en provenance de Milan entre en gare de Rome. À son bord, l’intégralité des passagers de la classe affaires nage dans son propre sang…
Si les premières constatations dirigent la police vers l’attentat terroriste, la commissaire adjointe Colomba Caselli soupçonne vite des complications. Un seul homme pour y voir clair : son vieil ami Dante Torre, » l’Homme au Silo « . Celui qui a connu l’enfer. Celui qui reconnaît ses démons. Il y a là la marque d’un ange, d’un ange déchu, femme sans visage venue du froid pour semer vengeance et carnage…
1 réflexion au sujet de “« Tu tueras l’ange » de Sandrone DAZIERI”