⁕ Thriller historique, ⁕ Thriller psychologique, ❤ Coup de cœur ❤

« Le cri » de Nicolas BEUGLET

XO éditions – 494 pages – Kindle –

🖤🖤🖤🖤🖤

Thriller psychiatrique mais pas que, historique, scientifique et addictif. J’ai tardé à lire ce titre qui est dans ma PAL depuis quelques années et il était temps de le sortir. J’avais lu de cet auteur une nouvelle : ▶▶ « Ça n’arrivera pas » en 2020 et un roman : ▶▶ « Le dernier message en 2021 ce dernier m’a laissé un très bon souvenir. Ce récit fait partie de ceux que l’on n’oublie pas. Un auteur que j’apprécie de plus en plus. Les suivants « Complot »  et « L’île du diable » sont dans mes prévisions de lectures de cette fin d’année.

On part pour l’hôpital psychiatrique de Gaustad près d’Oslo, ambiance lugubre, sauvage, ténébreuse et terrifiante.  L’inspectrice Sarah Geringën, nommée pour cette enquête, nous entraîne dans ce lieu sinistre sur une mort suspecte. Elle devra démêler l’intrigue autour du patient 488, suicide ou crime!

Je ne saurais dire comment se débrouille l’auteur pour nous rendre addict à ces textes car c’est bien de cela qu’il est question ici comme pour « Le dernier message ». Je peinais à chaque fois qu’il fallait reposer le livre. L’écriture détaillée, riche nous accapare autant que l’histoire qui est décortiquée sans nous ennuyer. Le thème de la psychologie autour de la vie après la mort a déjà été traitée, mais, c’est ici décrit d’une telle façon que pour moi c’était un renouvellement.

📚 « Le cri » est un récit glaçant, poignant, avec des personnages captivants, de multiples rebondissements. J’ai pu constater qu’il n’avait pas fait l’unanimité parmi différents lecteurs, mais c’est pour moi indéniablement un 🖤 coup de cœur 🖤. Il y a autour de l’enquête sur ce mystérieux patient une pointe de surnaturel, des détails historiques non négligeables, et une part scientifique intéressante. Je recommande, pour les amateurs de thrillers divers, cet auteur qui nous sert des récits croustillants.

À quelques kilomètres d’Oslo, l’hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah Geringën pressent d’emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu’il porte sur le front, s’est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…

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