⁕ Thriller fantastique

"Au nom de l’art" de Cetro – Cédric VETO

Mon avis – Extraits – 4ème de couverture
Lecture de juin 2017

Lecture de la version « non censurée ». Soraya jeune adolescente rebelle, mal dans sa peau et en plein refus de grandir va être confrontée plus vite qu’il ne le faut à la vie en dehors de sa petite personne, l’horreur dans toute sa « splendeur ». Julien jeune garçon frêle et sans prétention sera son seul ami. Ils vont être pris dans une machination macabre et découvrir le mal dans toute sa puissance, au nom de « l’Art »… J’ai deux ressentis pour ce récit : 

  • Pour ceux et celles qui ne connaissent pas les personnages nommés, un thriller dans toute sa puissance ou se mêlent le mal, l’amour, l’humain, l’évolution de chaque personne au vue d’événements terrifiants, avec aussi cette petite pointe de fantastique ou l’imaginaire des personnages va très loin. A ne pas mettre entre n’importe quelles mains. 
  • Pour ceux et celles qui comme moi connaissent les noms donnés aux personnages du récit il m’a été impossible de ne pas éclater de rire malgré la noirceur et la folie de certains passages pourtant sinistre. 

Ayant lu tout les romans de l’auteur, je peux dire ici que c’est le plus noir de ses livres, l’écriture, les descriptions, le sujet en font un livre d’exception avec aussi de l’amour et de la tendresse. 

Je ne veux pas spolier alors je crierais juste à Cédric : Je suis très frustrée…..
Extraits :


« Que vous soyez débutant ou expert en peinture et/ou sculpture, vous aurez à tout moment l’appui de notre artiste local, Frédéric Brusson. Il est très réputé pour sa patte. Il signe d’ailleurs toutes ses œuvres, non de son nom, mais d’une patte d’ours. » (de « Au nom de l’art » par Cetro)

« Ne doivent rester que les deux chercheuses ravagées du bulbe et l’autre taré d’artiste plantigrade, mais ils ne quittent que très rarement leur atelier, et lorsqu’ils le font, ça n’est jamais que pour aller pisser un coup ou bien rejoindre leur chambre. » (de « Au nom de l’art » par Cetro)
«Il le croise dans le couloir des ateliers et laboratoires, absorbé par son observation, à travers la vitre, du maître Brusson. Pour une fois, ce dernier est calme, assis sur un siège de sa création, et lit Miserere, un thriller de Jean-Christophe Grangé, auteur qu’il affectionne particulièrement et en presque exclusivité, sur fond sonore de maître Gims. » (de « Au nom de l’art » par Cetro)

4ème de couverture :

Texte susceptible de choquer . À déconseiller aux âmes sensibles.

L’Art. Jusqu’où certains sont-ils prêts à aller en son nom?
Des familles entières disparaissent, enlevées à leur domicile.
Une horrible machination est mise en place pour satisfaire les appétits déviants de fortunés amateurs d’art.
Soraya, adolescente de 16 ans, sera-t-elle le grain de sable dans ces rouages infernaux?
En bonus, vous trouverez à la fin la version non censurée de ce roman. Bonne lecture.

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