Presses de la Cité – 457 pages – Kindle –
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Deux lectures se suivent et deux flics fracassées physiquement et psychologiquement (Surface) sont présentes pour résoudre des enquêtes aux scènes visuellement insoutenables. C’est ici avec Céleste Ibarbengoetxea, capitaine à la PJ de Nantes que nous partons dans le parc régional de Brière.
Elle sera accompagnée tout au long de cette intrigue de Ithri Maksen, son lieutenant fidèle. Des scènes de crimes qui font mal au ventre, deux petites communautés où tous se connaissent! J’ai compris dans ma lecture qu’il y avait un précédent roman qui décrivait une première enquête avec la capitaine, d’où ses blessures « monstrueuses », « Les filles qui mentent » qui a été réédité, ainsi que ce titre « De si bonnes mères » édité une première fois sous « Vena Amoris ». Cela ne m’a pas gênée pour cette lecture.
Une enquête aux rebondissements inattendus et incroyables. Une écriture qui file sous nos yeux tellement accaparée à trouver qui est l’auteur de ces crimes odieux commis sur des jeunes femmes. Ceci jusqu’au final explosif. C’est cliché, je le sais, mais c’est mon ressenti. C’est dérangeant, choquant à souhait pour un très bon roman policier menée tambour battant. Âmes sensibles s’abstenir!
Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions #PressesdelaCité, je ne connaissais pas l’auteure et c’est avec plaisir que je choisirais son premier roman pour comprendre l’histoire de Céleste.

Céleste Ibarbengoetxea, capitaine à la PJ de Nantes. Un nom imprononçable. Un visage balafré. Un passé terrible : séquestrée et martyrisée, elle a survécu en faisant preuve d’une violence inhumaine. Depuis, pour certains comme à ses propres yeux, Céleste Ibar est un monstre. C’est pourtant parce qu’elle est une épouse aimante, une mère attentive et une collègue dévouée qu’elle va résoudre l’une de ces tragiques affaires criminelles qui marquent un flic à jamais.