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« Les garçons qui brûlent » de Eva Björg ÆGISDÓTTIR

La Martinière éditions – 416 pages – Kindle –

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Ce titre m’a été attribuée par #NetGalleyFrance et les éditions #LaMartinière que je remercie. C’est le troisième d’une série, j’avais eu le loisir de lire « Les filles qui mentent » reçu avec Babelio. Lire des polars du grand nord est pour moi un réel plaisir. L’environnement compte beaucoup ainsi que les personnages calmes comme engourdis dans cette atmosphère glaciale. Nous voilà en Islande!

Pas très loin de Reykjavík, à Akranes, une maison est en flamme, à l’intérieur se trouvait un jeune homme. En suivant, une jeune fille venue s’installer dans une famille du même lieu pour s’occuper des enfants, disparait mystérieusement. On retrouve l’enquêtrice Elma, suppléée par Sævar, qui sont chargés de démêler les pistes qui vont s’ouvrir à eux, et il y en aura plusieurs.

Les quelques personnages qui vont tourner autour de cette intrigue sont très bien décortiqués, leurs vies, faits, amis, liens vont se dérouler au fil de la lecture. Mais, vous ne saurez rien du final avant d’arriver au mot fin! Pour Elma la difficulté est double, ses problèmes personnels se rajoutent à son enquête.

Il y a peu d’acteurs finalement dans ce titre mais ils sont très complexes, ce qui rend le roman très intéressant. Les chapitres sont courts, rapides et fluides. Pour les amateurs de ce style particulier des romans nordiques, n’hésitez pas, on savoure…

En Islande, rien ne brûle autant que les mensonges.
Dans une petite ville paisible non loin de Reykjavík, une maison est ravagée par les flammes. À l’intérieur?: le cadavre d’un jeune homme de vingt ans. Cette découverte macabre se mêle à la disparition d’une jeune fille au pair quelques mois plus tôt. Chargée d’enquêter, l’inspectrice Elma découvre bientôt que derrière les volets des maisons familiales a priori sans histoires se cachent des secrets que tous les membres de la communauté cherchent à protéger. Mais la vérité est-elle souhaitable??
Faux-semblants, révélations dangereuses, familles ou sociétés dysfonctionnelles?: à 35 ans, Eva Björg Ægisdóttir s’impose comme l’une des voix les plus fortes et fascinantes du polar nordique, aux côtés de Camilla Läckberg, Arnaldur Indridason ou Ragnar Jónasson. Elma et Les Filles qui mentent, ses deux premiers romans, ont déjà conquis les lecteurs français.
Traduit de l’islandais par Jean-Christophe Salaün

2 réflexions au sujet de “« Les garçons qui brûlent » de Eva Björg ÆGISDÓTTIR”

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