Lecture d’avril 2020 ➡
Le livre de poche – 134 pages –
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Voilà le demi restant sur cette trilogie Verhœven qui termine bien cette série. Entre la nouvelle et le roman puisque juste un peu plus de 130 pages. Celles-ci sont exaltantes, intrépides, rapides.
Je ne vais pas vous mentir car je l’ai vu venir cette fin, mais l’écriture de l’auteur m’a emballée. On retrouve cet entrain qu’il y a dans ➡ « Alex » et cette urgence de découvrir l’énigme.
Une histoire courte et compacte, un thriller palpitant, énergique qui m’a réconciliée avec l’auteur puisque la lenteur de ➡ « Sacrifices » m’a un peu déstabilisée en rapport aux précédents livres.
« Il a l’air étonnement bourru et renfrogné pour un homme capable d’un plan aussi élaboré. Quelque chose ne colle pas? »
Cette petite phrase que l’on retrouve très souvent dans cette trilogie « et demie », et qui fait tout dans le récit à double intrigues.
Je suis restée épatée devant le personnage de John, vous comprendrez pourquoi en le lisant, quant à Camille, égal à lui-même, ira-t-il jusqu’au bout…
Un condensé de l’auteur qui m’a beaucoup plu.
✔ Présentation
« La bombe a convenablement fonctionné ; sur ce plan, il a tout lieu d’être satisfait. Les rescapés tentent déjà de secourir les victimes restées au sol. Jean s’engouffre dans le métro. Lui ne va secourir personne. Il est le poseur de bombes. » Jean Garnier n’a plus rien à perdre dans la vie : sa mère est en prison, sa petite amie a été tuée et il n’a plus de travail. Face à ce jeune paumé, Camille Verhoeven doit agir avec plus de finesse que jamais : Jean est-il une vraie menace pour le pays tout entier, ou juste un loser atteint de la folie des grandeurs ?
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